OUR OFFER
artikel_pic
Participation fee for World Convention, 10 days
179,- €

Search for attractionsRSS

Choose country:

Found attractions:

Brancion
Martailly-lès-Brancion, Bourgogne, France
Ruin of castle, Church, Settlement
Eventbild
Brancion (Xe, XIIe, XIVe) est la plus importante place forte de la Bourgogne du sud. Célèbre par son emplacement stratégique et son histoire. Jocerand de Brancion, compagnon de Saint Louis, tué aux croisades à la bataille de la Mansourah.
Châtellenie Ducale (fin du XIIIe) puis Royale, elle est restée un exemple vivant de l`architecture militaire du Moyen Age.
Ce village Bourguignon où le temps semble s`être arrêté vous séduira par son charme et son calme. Vous pourrez y faire une halte touristique ou bien même y passer quelques jours dans une charmante auberge, simple et agréable.

Découvrez l`histoire de Brancion à travers les siècles...

More details
up
Guedelon
Treigny, Yonne (89), Bourgogne, France
Castle
Eventbild
Im Herzen der Puisaye, einer unberührten Region des Burgunder Departements Yonne stellen sich rund fünfzig Werkleute einer ausserordentlichen Herausforderung: Sie bauen eine Burg mit Materialien und Techniken, wie sie im Mittelalter gebräuchlich waren.

Mitten in der herrlichen Natur, an einem Ort, wo sämtliche zum Bauen notwendigen Materialien wie Holz, Erde, Sand und Ton zur Verfügung stehen, bauen Steinbrecher, Steinhauer, Maurer, Holzfäller, Zimmerleute, Schmiede, Ziegler, Karrer, Korber und Seiler Tag für Tag unter den Augen von tausenden von Zuschauern eine veritable Ritterburg.

Die Bau wurde 1997 begonnen, und dürfte gegen 25 Jahre dauern.

Das Hauptinteresse eines solchen Abenteuers liegt in der Beobachtung der unterschiedlichen Arbeitsphasen. Jede Bauetappe ist auf ihre Weise einzigartig und stellt jeweils ein gesondertes Ereignis dar.

Was immer auch die Beweggründe für die Lancierung dieses Abenteuers gewesen sein mögen, Guédelon erfüllt in mancher Hinsicht Träume und Erwartungen der Menschen des 21. Jahrhunderts. Nebst wissenschaftlichen, historischen, pädagogischen und touristischen Anforderungen sind vor allem die zwischenmenschlichen Aspekte der Baustelle von hoher Bedeutung.

More details
up
Noyers sur Serein (Yonne)
Noyers, Yonne (89), Bourgogne, France
Castle, Settlement
Eventbild
Fondé par le roi du peuple Sequane avant la conquête romaine ou par un contemporain de Jules César, dénommé "Lucidorius" qui aurait donné à la ville son premier nom Lucida, les origines de Noyers ne sont pas très claires.

Miles de Noyers

Une chose est sûre, à partir du XIIème siècle la cité devient le siège d?une puissante famille qui donna à la France des hommes illustres. Gui de Noyers, Évêque de Sens, couronna Philippe Auguste en 1180. Miles X fait Maréchal de France par Philippe le Bel en 1303, commanda pour sa dernière mission au nom du roi de France, Philippe IV de Valois, la fine fleur de la chevalerie française qui se fit tailler en pièce à Crécy, par les fantassins anglais.

A la fin du XIIème siècle, Hugues de Noyers, Évêque d?Auxerre, fit construire "un des plus fier castel de France" lequel fut assiégé et résista aux assauts des troupes de Blanche de Castille en 1217.

En 1419, après l?extinction de la dynastie des Miles, la seigneurie de Noyers passe aux mains des Ducs de Bourgogne. Le prince de Condé, devenu comte de Noyers, fait de son fief un pôle de résistance huguenote et s´y réfugie en 1568 après l?échec de la conjuration d?Amboise. Catherine de Médicis le déloge, faisant capituler la garnison.

More details
up
Tarascon Castle
Tarascon, Bouches-du-Rhône, France
Castle
Eventbild
Le château de Tarascon est situé en bordure du Rhône dans le département des Bouches-du-Rhône en France. Par son allure massive et son état exceptionnel de conservation, cet édifice est un des plus beaux châteaux médiévaux de France. Face à, il gardait la frontière occidentale de la Provence.

UN PREMIER CHÂTEAU
A cet emplacement s´élevait un premier château qui fut occupé au milieu du XIIIe siècle par Charles d´Anjou, comte de Provence et frère de Saint-Louis, roi de France. Ce château est agrandi par son fils Charles II dit « le boiteux ». En 1367 le duc Louis d´Anjou, gouverneur du Languedoc et frère du roi de France Charles V, veut profiter de l´éloignement du pape Urbain V qui s´était rendu à Rome et de l´absence de la reine Jeanne, comtesse de Provence, pour substituer son pouvoir à celui de la reine. Cette entreprise était une nouvelle manifestation de l´ambition française sur la Provence. Le duc d´Anjou trouve un capitaine en la personne de Bertrand du Guesclin qui vient d´être libéré en décembre 1367 après sa capture à la bataille de Nájera. Du Guesclin se met en marche le 26 février 1368 avec 2 000 hommes et met le siège devant Tarascon le 4 mars 1368. La ville est bloquée de toute part. Les trébuchets font plusieurs victimes dont le clavaire Martin Champsaur. La ville de Tarascon capitule le 20 ou 22 mars 1368, mais sera reprise en septembre 1368.

LE CHÂTEAU ACTUEL
À son retour d´Italie Louis II d´Anjou, comte de Provence, fait entreprendre le 27 novembre 1400 la reconstruction du château à l´emplacement qu´il occupait. Les travaux avancent rapidement mais sont interrompus quelques années plus tard et sont repris de 1428 à 1435 par son fils Louis III d´Anjou.

L´architecte était Jean Robert auquel furent adjoints les sculpteurs Simon de Beaujeu et Jacques Morel. Les matériaux furent empruntés à des carrières de Tarascon et Beaucaire ainsi que dans une moindre mesure à celles de Fontvieille. Le roi René n´y apporta que de petites modifications de 1447 à 1449 sous la conduite de Jean de Serocourt et Regnault de Serocourt, capitaine et lieutenant de Tarascon, afin de le rendre plus habitable et fit placer son buste et celui de la reine Jeanne de Laval dans une niche de la cour d´honneur. À la fin de son règne le roi René fit de 1476 à 1479 entreprendre encore quelques travaux tel que le remplacement du pont-levis par un pont fixe.

Après 1481 le château ne sert qu´occasionnellement aux agents du roi. Du XVIIIe siècle à 1926 le château sert de prison. Les déprédations causées par cette utilisation sont réparées par les architectes Henri Antoine Révoil et Jean Camille Formigé ; c´est au cours de ces restaurations que le crénelage est rétabli.

Le château est bâti sur un îlot rocheux en bordure du Rhône qui le longe d´un côté tandis qu´un fossé taillé dans le roc pouvant recevoir les eaux du Rhône le sépare de la ville. Il se compose de deux parties bien distinctes : au nord la basse-cour réservée aux communs et aux hommes d´armes, et au sud le logis proprement dit. On pénètre dans le château par une porte ouverte entre la première tour carrée de la basse-cour et la tour ronde dite de l´Horloge ; on accède ainsi à une cour fermée située entre la basse-cour et le château seigneurial, ce qui constitue une véritable souricière en cas d?attaque.

LA BASSE-COUR
Cette partie est formée d´un massif polygonal irrégulier entièrement entouré d´une muraille moins haute que celle du château. Trois tours barlongues le flanquent vers la ville tandis qu´une tour plus petite est placée du côté du Rhône.

Les communs ont été aménagés pour abriter l´apothicairerie de l´hôpital Saint-Nicolas ; plus de deux cents pots en faïence de Saint-Jean-du-Désert et de Montpellier y sont exposés dans une boiserie du XVIIIe siècle.

LE LOGIS SEIGNEURIAL
C´est le château proprement dit constitué d´une muraille de 3 à 4 m d´épaisseur et de 45 m de haut avec deux tours rondes (tour de l´Horloge et tour des Chapelles) à l´est et deux tours carrées à l´ouest côté Rhône. Les architectes avaient adopté, pour la façade la plus exposée, des tours rondes plus résistantes et faciles à défendre que les tours carrées. Cette survivance de l´emploi des tours carrées à une époque où dans le reste de la France on y avait renoncé, marque un certain archaïsme. Une des caractéristiques de ce château est d´avoir des courtines de même hauteur que les tours qu´elles relient: c´était une tendance déjà ancienne qu´on trouve par exemple à la Bastille de Paris.

Au centre du château proprement dit se trouve la cour d´honneur sur laquelle donnent les bâtiments d´habitation qui comportent trois étages dont les deux premiers sont plafonnés à la française, le dernier étant voûté. Ils sont desservis par des escaliers à vis dont le principal se trouve incorporé dans une tourelle en saillie bien visible sur la façade orientale de la cour intérieure. Cette dernière est relativement petite par rapport à la hauteur des bâtiments qui l´entourent. Sur le côté oriental de cette cour se trouve l´escalier polygonal et sur la façade sud la niche abritant les bustes du roi René et de la reine. Ces bustes mutilés à la Révolution sont probablement l´oeuvre de Francesco Laurana.

La tour des chapelles doit son nom à deux chapelles superposées se trouvant l´une au rez-de-chaussée et destinée aux employés, l´autre au deuxième étage réservée au seigneur. La chapelle basse de forme rectangulaire se termine par une abside semi circulaire logée dans la tour. Les deux travées ont des voûtes d´ogive. La voûte du choeur comporte huit branches qui rayonnent à partir d´une clef sculptée représentant le couronnement de la vierge. La chapelle haute a les mêmes dimensions ; elle est cependant moins haute et son abside ne comporte que six branches d´ogives. Ces chapelles n´ouvrent vers l´extérieur que par des meurtrières afin de ne pas affaiblir la défense.

L´aile méridionale n´a pas de fenêtre côté sud, car elle est la plus exposée en cas d´attaque ; les seules fenêtres donnent sur la cour d´honneur. Elle est desservie par un escalier à vis situé dans la tour du Rhône (angle sud-ouest) qui présente un pan coupé. L´aile ouest en bordure du Rhône ne nécessitait pas les mêmes précautions pour la défense, d´où la présence de grandes fenêtres donnant sur le Rhône. Cette aile ne comprend à chaque étage qu´une seule grande salle destinée aux réceptions, cérémonies et banquets.

Comme dans toutes constructions à des fins militaires, la décoration est réduite à peu de choses. Cependant les voûtes d´ogives reposent sur des consoles fort bien sculptées: chimères, aigles, chauves-souris...

More details
up
Tour César
Provins, Seine et Marne, France
Castle
Eventbild
La Tour César est un donjon du XIIe siècle, situé à Provins (Seine-et-Marne, France) au sommet de la colline où s´est installée la ville haute.

C´est le seul donjon octogonal à base carrée connu. La tour servit également de prison. Durant la Guerre de Cent Ans, elle fut occupée par les Anglais qui l´ont entourée d´une muraille.

La tour César fait l?objet d?un classement au titre des monuments historiques depuis 1846.

Histoire

Une première tour, existant en 1137, est nommée dans la charte fixant les limites des foires de Champagne.

La tour actuelle fut bâtie sur un éperon rocheux qui se trouve sur la Ville-Haute, appelée autrefois, "Tour du Roi", "Grosse Tour", "Tour aux prisonniers", elle a probablement été construite sous le règne de Henri le Libéral. Une légende veut que l´origine de Provins se trouve à l´époque romaine. Suivant cette tradition, la grosse tour de Provins aurait été bâtie par Jules César. À l´origine, la tour n´était pas couverte et se terminait par des créneaux. Le toit actuel et la charpente datent des XVIe et XVIIe siècles.
Architecture

Cette tour est construite sur une motte artificielle. Elle est à cheval sur les murs des fortifications dont elle avait la fonction de donjon. Elle a également servi de prison, mais son rôle principal était de l´ordre du militaire: deux chemins de ronde permettant le guet sur la plaine de Brie.

Elle présente un plan carré à sa base, devenant octogonal à mi-hauteur, flanquée de quatre tourelles se détachant au niveau du premier chemin de ronde. La base de l´édifice est couverte par une lourde muraille en maçonnerie, ajoutée par les Anglais après le siège de 1432. La Tour César était surmontée d´une terrasse portant une tour de guet et un chemin de ronde crénelé.

Toiture

La Tour est couverte et abrite deux cloches du XVIIe siècle. Elles sont posées et abrités par des charpentes de bois.

La Tour dispose aujourd´hui d´un toit avec une magnifique charpente du XVIIe siècle, mais avant cela, il n´en existait pas jusqu´en 1571. Du chemin de ronde, à l´ouest, on a une bonne vue de la ville haute, tandis qu´à l´est, la vue s´oriente vers la ville basse.

Cloches

La tour est aussi utilisée comme beffroi, des six cloches d´origine, cinq furent brisées et fondues en 1793 et 1798, pour la fabrication de canons et de la monnaie. La plus grosse et la seule restante a un diamètre de 1,48 m et pèse 3 000 kg. Elle porte l´inscription : « En l´an 1511, ayant été fondue / De Quiriace on me donna le nom, / Je règne dans les airs et chasse de la nuée / Diable, tonnerre et grêle par mon nom ».
Intérieur

À l´intérieur, au rez-de-chaussée, une grande salle voûtée servait d´entrepôt pour l´intendance. A l´étage supérieur, une autre salle de mêmes dimensions mais plus haute, appelée "salle des gardes", était le centre de communication de la tour. De là, partent les escaliers vers la salle basse, la chambre du gouverneur et les chemins de ronde. La voûte est perforée d´un "trou de service", permettant de communiquer avec le dernier chemin de ronde. On accède aux cachots où furent gardés les prisonniers par d´étroits couloirs pris dans l´épaisseur des murs. La tour a été couverte en 1554, et l´installation des cloches, provenant de la tour-clocher de l´église Saint Quiriace effondrée, date de 1689.

La petite cloche, quant à elle, date de 1889.

More details
up
Grange aux Dîmes
Provins, Seine et Marne, France
Museum
Eventbild
Pendant les Foires de Champagne, cet édifice du XIIIe siècle était utilisé comme marché couvert.
On sait grâce à des baux retrouvés, qu´elle était louée, entre autres, par des marchands toulousains.

Le premier étage servait de boutique, et la salle basse d´entrepôt.
Le deuxième étage était réservé quant à lui à l´habitation.

Cette demeure à la façade en pierre est typique de la ville avec sa salle basse voûtée en ogive et aux chapiteaux sculptés, parfois très raffinés.

Au XVIIe siècle, elle fut utilisée en tant qu´entrepôt pour la dîme - impôt sur les récoltes - d´où son nom actuel.

Elle abrite aujourd´hui une exposition de mannequins de cire, représentant les marchands et les métiers du Moyen Âge.

Vous y découvrirez : le marchand italien, le marchand de drap de Provins, le changeur, le marchand flamand, l?écrivain public, les métiers de la laine, le potier, le tailleur de pierre, le carrier et le parcheminier...

Grâce à la visite audio guidée, accessible à tous, ludique mais très complète, vous serez incollable sur les Foires de Champagne qui se déroulaient à Provins.

(Audio guide en anglais, allemand, espagnol et chinois).

More details
up
Les Souterrains
Provins, Seine et Marne, France
Museum
Eventbild
Visite guidée avec un guide conférencier.

A notre connaissance, il ne subsiste que très peu de documents qui pourraient nous éclairer sur les raisons de l?existence et sur l?utilisation exacte des souterrains.

De nombreuses questions restent encore aujourd?hui sans réponse.
Malgré tout, grâce aux recoupements historiques et à diverses constatations, certaines hypothèses ont pu voir le jour.

Tout d?abord, il est très probable que ces souterrains
furent d?abord exploités comme carrière pour extraire la "terre à foulon".

Au Moyen Âge, la spécialité de Provins était un drap de laine, de très haute qualité et dont la renommée dépassait les frontières.

On utilisait donc cette terre très particulière, pour l?opération du foulage des draps (nettoyage et dégraissage de la laine).
Et comme l?on sait que l?industrie du drap était extrêmement productive à Provins au Moyen Âge, on peut en déduire que les besoins des foulons étaient en proportion.

Une fois ces cavités réalisées, les hommes ont pu les exploiter de diverses façons : refuges, entrepôts durant les Foires de Champagne ou encore lieux de réunions
cultuelles, et assurément par des francs-maçons que de nombreuses anciennes écritures sur les parois attestent.

On peut visiter aujourd?hui la partie communale de ces réseaux ( 250 mètres), ceux qui se situent sous l?Hôtel-Dieu et sous la rue Saint-Thibault.

La visite des souterrains de Provins permet également de découvrir des lieux typiquement liés aux foires : les salles basses voûtées.

Deux salles basses, à usage bien distinct, vous y sont
présentées.
La première salle dans laquelle vous entrez, située sous l?Hôtel-Dieu, avait un usage hospitalier.
Tout comme celle du Caveau du Saint-Esprit (rue de Jouy), cette salle servait très probablement à l?accueil des pauvres et des pèlerins, ce qui explique la sobriété architecturale et décorative du lieu (chapiteaux carrés non sculptés, obscurité).

A la sortie de la visite, vous pourrez admirer une seconde salle.
Pendant les Foires de Champagne, les marchands et négociants avaient besoin de grands espaces pour mettre en sûreté et stocker leurs marchandises, et aussi pour accueillir leurs clients.
Utilisées comme une sorte de ? show room ?, ces salles commerciales étaient construites et aménagées avec soin (observez les chapiteaux sculptés, le grand escalier et la lumière apportée par les ouvertures).

Ce type de salle est le plus courant. Vous en avez un bel exemple à la Grange aux dîmes.
La majorité des maisons provinoises possèdent de tels espaces voûtés magnifiques, dont plus de cent ont été répertoriés dans la Ville Haute et plusieurs dizaines dans la Ville Basse.
C?est dire l?importance de ces locaux dans l?économie de la ville?

Réalisée en 2006, la mise en lumière par fibres optiques sublime les lieux.
Ce système d?éclairage révolutionnaire propose, par des jeux d?ombres et de lumières, une plus grande attractivité et un plus grand confort de visite tout en valorisant l?architecture des galeries souterraines et salles basses.

La fibre optique offre la particularité d?être d?une extrême fiabilité en milieu humide. L?absence d?ultraviolet, d?infra rouge et de température garantit le respect des lieux.

La faible consommation électrique et le peu d?entretien que
requiert cette technologie en font un outil d?une très grande économie très respectueuse de l?environnement.

A découvrir uniquement en visite guidée par groupe de 25 pers. maximum, pour des raisons de sécurité et de préservation du site.

Durée de la visite guidée : 45 mn env.

More details
up
Les remparts et portes fortifiées
Provins, Seine et Marne, France
Building
Eventbild
Les remparts, la Porte Saint-Jean et la Porte de Jouy.

Les remparts ont été édifiés entre les XIe et XIIIe siècles, leur périmètre s´élargissant au fur et à mesure que la ville grandissait.

Les deux portes réalisées sous Philippe le Bel, la Porte de Jouy et la Porte Saint-Jean, sont des exemples
remarquables des portes royales du XIVème siècle.

Provins possède à l´époque l?une des enceintes fortifiées les plus imposantes de France : 5 km de remparts.

C?est le comte Thibaut IV de Champagne qui, de 1226 à 1236, fait bâtir cette impressionnante muraille de plus de 25 mètres de hauteur.

Le comte avait vu grand afin d?accueillir et de protéger les habitants et les très nombreux marchands qui venaient pour les Foires de Champagne !

Les bâtisseurs ont pu profiter de la richesse des comtes pour faire preuve de leur savoir, en construisant toutes les formes possibles de tours : rondes, rectangulaires, en amande, octogonales, hexagonales, trapézoïdales, etc.

Aujourd?hui, il reste 1200 mètres de remparts autour de la ville haute.
Comme dans la plupart des villes, la partie disparue a servi pour construire ou renconstruire des habitations.

A Provins, on imagine encore facilement le tracé complet grâce aux Allées d?Aligre, un boulevard de promenade très prisé des Provinois.

Ce patrimoine unique est restauré depuis les années 70 tranche par tranche.

Le responsable est l?Architecte en chef des Monuments Historiques, Jacques Moulin ;
la maîtrise d?ouvrage est, quant à elle, déléguée à la Ville de Provins.
Les entreprises et artisans travaillant sur ce chantier sont tous agréés par les Monuments Historiques : maçons, tailleurs de pierre, charpentiers, couvreurs, électriciens, etc.

Lors de votre venue à Provins, vous pourrez accéder en toute sécurité à ces remparts au niveau de la Porte de Jouy.
Vous pourrez admirer la vue sur la campagne et vous rendre compte de leur efficacité et de leur majesté.

Accès libre et gratuit jusqu´au site du spectacle Les Aigles des remparts par la Porte de Jouy.

More details
up
Haut Koenigsbourg
Orschwiller, Alsace, France
Castle
Eventbild
Die Haut-Koenigsbourg wurde im 12. Jahrhundert erbaut und war Zeitzeuge mehrerer Jahrhunderte innereuropäischer Auseinandersetzungen und Rivalitäten zwischen Lehnsherren, Königen und Kaisern.
Die Burg zählte im Laufe der Zeit eine Reihe berühmter Besitzer, die ihre Zeit, aber auch die Burg selbst stark geprägt haben.

Die Existenz einer von den Hohenstaufen erbauten Burg ist, seit dem Jahre 1147, urkundlich bekannt. Die, damals Staufenberg genannte Burg, bietet aus fast 800 Metern Höhe einen perfekten Blick über die Rheinebene, mit den Hauptverkehrswegen der Region. Gebaut auf einen Felsvorsprung, ist die Burg ein idealer Beobachtungspunkt und gleichzeitig ein strategischer Rückzugsposten. Erst im Jahre 1192 findet man den Namen Koenigsbourg (königliche Burg).
Die Tiersteiner
1462 wird die Burg zerstört. Die Habsburger geben daraufhin die Burganlage an die Familie von Tierstein. Um 1500 bauen die Tiersteiner die Burg wieder auf und passen sie den Fortschritten der Artillerie an. So soll die Koenigsburg sogar schwerem Artilleriefeuer standhalten. Von da an kennt die Hohkönigsburg ihre Blütezeit (" Hoh " gleichbedeutend mit ?Hoch?) bis im Jahre 1633?

Brand und Niedergang

Trotz der umfassenden Befestigungsarbeiten um 1500, überwindet die schwedische Artillerie die Feste Hohkönigsburg während des Dreißigjährigen Kriegs. 1633 wird die Burg belagert, geplündert und schließlich abgebrannt. Danach steht sie nahezu zwei Jahrhunderte lang leer.
Im Jahre 1862 wird die Burgruine unter Denkmalschutz gestellt und, drei Jahre darauf, von der nahe gelegenen Stadt Sélestat erworben.
Die ersten Entwürfe einer Restauration
Die Stadtverwaltung sorgt für die bauliche Sicherung eines Teils der Ruinen und erwähnt schon damals eine Restaurierung der Burg. 1882 erstellt der Architekt Winkler Entwürfe für dieses ehrgeizige Vorhaben. Leider ist die Stadt jedoch nicht in der Lage, die geplante Restauration der Burg zu finanzieren.
Nach der Annexion des Elsass durch Deutschland, im Jahre 1871, schenkt die Stadt Sélestat im Jahre 1899 die noch immer majestätische Ruine dem Kaiser Wilhelm II.

Die Restauration

Die bald 900 Jahre alte Festung lag wie viele andere am Oberrhein in Ruinen, seit sie im 30jährigen Krieg zerstört worden war. Mit ihrem Wiederaufbau wollte der Deutsche Kaiser ein Museum errichten, in dem das Zeitalter des Rittertums und die Hohenzollern als legitime Herrscherdynastie des Kaiserreiches verherrlicht werden sollten.

Ein bemerkenswerter Zeitzeuge
Im Jahre 1919, anlässlich des Versailler Vertrags, wird die Haut-Koenigsbourg Eigentum der Republik Frankreich und erhält den Status eines staatlichen Schlosses.
Im Laufe des 20. Jahrhunderts steht, in den Wirren der deutsch-französischen Beziehungen, die Restauration des Kulturdenkmals im Mittelpunkt der Kontroversen. Man versucht die Arbeit des deutschen Architekten bloßzustellen um die Annexion des Elsass durch das Deutsche Kaiserreich zu diskreditieren. Nach den zwei Weltkriegen wird die restaurierte Hohkönigsburg langsam akzeptiert und 1993 wird sie durch Frankreich unter Denkmalschutz gestellt.
Die Gestaltung der Burg von Au?en gibt dem Besucher die Möglichkeit sich ein genaues Bild von einer mittelalterlichen Bergfestung zu machen. Innerhalb der Mauern vermitteln die aufwendig ausgestatteten Räumlichkeiten einen guten Eindruck der damaligen Zeit. Zusätzlich gibt es eine bemerkenswerte Sammlung an Waffen und Mobiliar, die vornehmlich aus dem 16. und 17. Jahrhundert stammen.
Die Haut-Koenigsbourg ist auf jeden Fall einen Besuch wert.

Chronologische Eckpunkte

Seit dem Bau der ersten Burg im Jahre 1147 bis hin zu ihrem heutigen Erscheinungsbild sind neunhundert Jahre Geschichte ins Land gezogen:

1147 ? Erste urkundliche Erwähnung der, von den Hohenstaufen erbauten Burg Castrum Estuphin.
1192 ? Die Burg heißt von jetzt an K?nigsbourg (königliche Burg).

1462 ? Zerstörung der Burg im Besitz der Habsburger.

1479 ? Die Burg wird der Familie von Tierstein als Lehen übergeben. Die Tiersteiner (und später die Sickinger) bauen die Burg wieder auf, erweitern sie und versehen sie mit einem modernen Befestigungssystem. Die Hohkönigsburg erlebt von da an ihre 150 Jahre lange Blütezeit.

1633 - Belagerung, Plünderung und Brandschatzung der Burg während dem Dreißigjährigen Krieg. Die Burg bleibt die nächsten zwei Jahrhunderte verlassen, bevor ihre Ruinen im Jahre 1862 unter Denkmalschutz gestellt werden.

1865 ? Erwerb der Burg durch die Stadt Sélestat.

1899 - Nach der Annexion des Elsass durch Deutschland im Jahre 1871 schenkt die Stadt Sélestat die Burgruine dem Kaiser Wilhelm II.

1900-1908 - Wilhelm II gibt dem Architekten Bodo Ebhardt den Auftrag, die Burg vollständig zu renovieren. Die Arbeiten dauern 8 Jahre.

1919 - Die Haut-K?nigsbourg wird Eigentum der Republik Frankreich und erhält den Status eines staatlichen Schlosses.

1993 ? Die gesamte Burganlage wird unter Denkmalschutz gestellt und vollständig saniert.

2007 ? Im Rahmen des französischen Gesetzes vom 13. August 2004, über die Freiheiten und Verantwortung der lokalen Gebietskörperschaften, geht die Burg Haut-K?nigsbourg an den Generalrat des Departements Bas-Rhin über. Er fungiert seitdem als neuer Eigentümer.

More details
up
Ulrichsburg
Ribeauvillé, Alsace, France
Ruin of castle
Eventbild
Die Ruine der Ulrichsburg (französisch Château de St. Ulrich) steht bei Ribeauvillé (deutsch: Rappoltsweiler) im Elsass. Sie thront in 510 Meter Höhe über dem Strengbachtal.

Die Ulrichsburg ist eine Felsenburg mit quadratischem Bergfried im Norden und einem Donjon im Süden. Beide Türme stehen auf Felsen. Zwischen ihnen befinden sich die Wohngebäude und eine Kapelle. Etwas tiefer liegt der Zwinger und das Herzstück der Burg, der Rittersaal. In ihm sind noch sieben romanische Zwillingsfenster erhalten. Das Innere der Burg ist durchgehend mit Ornamenten aus rotem Sandstein verziert

Ein 1644 veröffentlichter Stich aus Matthäus Merians Topographia Alsatiae zeigt die drei Burgen von Rappoltsweiler mit der Ulrichsburg links.

Es existieren Baureste aus dem 11. Jahrhundert, der Bergfried wurde aber erst gegen Anfang des 12. Jahrhunderts gebaut. Der noch in Grundmauern erhaltene Wohnturm wurde um 1200 und der Rittersaal im Jahr 1230 fertiggestellt. Gänzlich fertig war die Burg im Jahr 1289. Erstmals urkundlich erwähnt wurde sie im Jahr 1298.

Die dem Heiligen Ulrich geweihte Kapelle wurde im Jahr 1435 vollendet. Im 15. Jahrhundert war die Burg in Kriegshandlungen mit den Besitzern der nahen Burgen Girsberg und Hohrappoltstein verwickelt. Ab dem Dreißigjährigen Krieg verfiel die Burg.

Bodo Ebhardt führt in seinem Werk aus, dass ?die Ulrichsburg wenigstens seit 1084 - 1298 Rapoltstein (hieß)?. Gegen diese Annahme spricht, dass in einer Urkunde von 1288 von ?den Herren vom Alten Kasten? berichtet wird. Daraus folgt, dass Hoh-Rappoltstein den Herren von Rappoltstein gemeinsam gehört haben muss. Dies legt auch den Schluss nah, dass zu dieser Zeit nur zwei Burgen existierten, der Alte Kasten und der Stein, der 1288 Wohnsitz der Herren von Giersberg war und so nicht als Rappoltsteiner Burg gemeint sein kann. Aus den oben genannten Feststellungen kann geschlussfolgert werden, dass der Bau der Großen Veste Rappoltstein als zweite Rappoltsteiner Burg 1289 vollendet worden sein muss. Sollte der Grundstein vor 1283 gelegt worden sein, würde sich auch der spätere Name Ulrichsburg erklären, denn von 1275 bis 1283 war Ulrich III. Herr zu Rappoltstein. Sein Namenspatron wird als Schutzheiliger der Burg Anlass für die spätere Benennung in Ulrichsburg gegeben haben. Gesichert ist, dass der Generalvikar des Basler Bischofs am 2. Oktober 1435 in der nördlich des Palas zum Innenhof hin gelegenen Burgkapelle einen Altar zu Ehren des Heiligen Ulrich geweiht hat.

Folgende Namen der Anlage finden sich zu unterschiedlichen Zeiten:

1368 Groß-Rappoltstein
1371 castrum Rapoltzsteine inferius in volgari die Niderburg
1378 Grosze Burg Rapolczstein
1435 majori castro Rappolstein
1453 Große Veste Rappoltstein
1477 St. Ulrich
1518 Großen Rappoltstein
1536 Sant Ulrich
1627 Schloss St. Ulrich
1778 Große Veste Rappoltstein, in den Akten ?St. Ulrich, dermalen Unterschloß?

More details
up